Malgré une économie faible et le deuxième taux de chômage le plus élevé du G7, la Banque du Canada ne peut pas réduire les taux en raison des dépenses déficitaires inflationnistes insensées de Carney, qui sont bien pires que celles de Trudeau. Les déficits de Carney sont pires que ceux de Trudeau et les Canadiens en paient le prix par une inflation et des taux d'intérêt plus élevés.