GRAPHIQUE DU JOUR : Que se passerait-il si tous les investissements dans de nouveaux champs pétroliers et gaziers ou dans ceux existants cessaient ? Ce ne serait pas joli, dit l'AIE : "Pour le pétrole, cette chute serait >5,5 mb/j chaque année [...], ce qui équivaut à perdre plus de l'ensemble de la production pétrolière actuelle du Brésil et de la Norvège."