Ainsi, le participant médian du FOMC a relevé les prévisions de croissance pour 25’— impliquant un PIB à un rythme de croissance potentiel, voire même plus élevé compte tenu du ralentissement de l'immigration, au second semestre. Il a également abaissé la projection du taux de chômage pour 26’ et 27’. Et il est question des risques à la baisse pour l'emploi qui ont augmenté. Je n'ai jamais vu une réunion avec autant de contradictions.