Dans l'Union soviétique, la pratique des citoyens qui s'informent les uns sur les autres—parfois appelée doznosit’ (dénonciation) ou "balance"—était répandue et profondément ancrée dans la vie quotidienne. Ce n'était pas seulement un effet secondaire de l'autoritarisme, mais une caractéristique délibérée de la gouvernance soviétique.